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Canadiennes en politique : recrutement difficile

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Canadiennes en politique : recrutement difficile

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Même si de plus en plus d'initiatives sont mises en place dans les différents paliers gouvernementaux afin attirer les femmes en politique, il reste beaucoup de travail à faire pour atteindre la parité.

À l'heure actuelle, 27 % de la Chambre des communes à Ottawa est composée de femmes. Du côté de l'Assemblée législative au Nouveau-Brunswick, il y a 16 % des députées sont des femmes. Dans les deux cas, la parité entre les hommes et les femmes est bien loin.

En mars 2017, le Nouveau-Brunswick a annoncé qu’il voulait modifier la formule de financement public des partis politiques afin de recruter un plus grand nombre de femmes.

Pour y arriver, le gouvernement versera plus d'argent aux partis qui feront élire plus de candidates.

Cette initiative est bien accueillie par Ginette Petitpas Taylor, députée fédérale de la circonscription Moncton-Riverview-Dieppe, et Monique LeBlanc, députée provinciale de Moncton-Est.

Néanmoins, elles sont d’avis que les partis devront être créatifs, mais surtout insistants.

« Avec les femmes, il faut s’y prendre différemment. Il y en a même qui suggère qu’il faut les convoiter 7 à 8 fois. Il faut les téléphoner et s’assurer qu’il y ait un soutien. La démarche est différente et ça sera aux partis d’être conscients de cette différence », explique Monique LeBlanc.

Ginette Petitpas Taylor, qui, la première fois, avait elle-même refusé de se lancer en politique en raison de sa situation familiale, est du même avis. « Mes collègues masculins n’ont pas besoin de se le faire demander. Ils vont de l’avant. Toutefois, lorsqu’on demande à une femme de se lancer en politique, il faut les convaincre. »

Cliquez ici pour lire l’article publié par Radio Canada le 21 avril 2017. 

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Même si de plus en plus d'initiatives sont mises en place dans les différents paliers gouvernementaux afin attirer les femmes en politique, il reste beaucoup de travail à faire pour atteindre la parité.

À l'heure actuelle, 27 % de la Chambre des communes à Ottawa est composée de femmes. Du côté de l'Assemblée législative au Nouveau-Brunswick, il y a 16 % des députées sont des femmes. Dans les deux cas, la parité entre les hommes et les femmes est bien loin.

En mars 2017, le Nouveau-Brunswick a annoncé qu’il voulait modifier la formule de financement public des partis politiques afin de recruter un plus grand nombre de femmes.

Pour y arriver, le gouvernement versera plus d'argent aux partis qui feront élire plus de candidates.

Cette initiative est bien accueillie par Ginette Petitpas Taylor, députée fédérale de la circonscription Moncton-Riverview-Dieppe, et Monique LeBlanc, députée provinciale de Moncton-Est.

Néanmoins, elles sont d’avis que les partis devront être créatifs, mais surtout insistants.

« Avec les femmes, il faut s’y prendre différemment. Il y en a même qui suggère qu’il faut les convoiter 7 à 8 fois. Il faut les téléphoner et s’assurer qu’il y ait un soutien. La démarche est différente et ça sera aux partis d’être conscients de cette différence », explique Monique LeBlanc.

Ginette Petitpas Taylor, qui, la première fois, avait elle-même refusé de se lancer en politique en raison de sa situation familiale, est du même avis. « Mes collègues masculins n’ont pas besoin de se le faire demander. Ils vont de l’avant. Toutefois, lorsqu’on demande à une femme de se lancer en politique, il faut les convaincre. »

Cliquez ici pour lire l’article publié par Radio Canada le 21 avril 2017. 

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